Les jeux incontournables

Support : Megadrive
Genre : Plate-forme
Test : Je devais avoir seulement six, voir sept ans, lorsque j’ai joué pour la première fois à Buster's Hidden Treasure.
Fan des Looney Tunes depuis mon premier épisode de Titi & Grominet, j’avais très vite accroché aux Tiny Toons et à leur univers coloré et complètement déjanté.
Même si je ne l’ai pas fini à l’époque, ce jeu m’a laissé un très bon souvenir et j’ai décidé de profiter de ma nouvelle acquisition (la Dingoo A320) pour m’y remettre. Voici ce que j’en pense quelques années après :

Contrairement à beaucoup de ses comparses dits « à licence », Buster's Hidden Treasure est réussi. Mais genre vraiment réussi hein. Les décors fourmillent de détails, l’esprit cartoon de la série est bien présent, et les personnages sont magnifiquement représentés. Graphiquement, c’est tout simplement l’un des plus beaux jeux de la megadrive, et au niveau des musiques on a le droit à tous les classiques du show. Ces derniers sont d'ailleurs, et ce malgré le manque de puissance de la console à ce niveau, très agréables à l’écoute,
Mais le plus étonnant reste le gameplay : malgré un ensemble donnant une impression de « déjà vu », il n’a rien à envier au hérisson bleu. La gestion des sauts est une merveille de perfection, le personnage va vite sans que le jeu soit sujet aux moindre ralentissements, et le level-design donne lieu à d’excellentes phases de bonds, chutes, culbutes et autres plongeons. Avec sa trentaine de niveaux (dont plusieurs alternatifs selon la façon dont vous en terminez certains), sa durée de vie est plus qu’honorable, promettant des heures de jeux en perspective. Les boss sont d’ailleurs relativement ardus (et ce non pas parce qu’ils sont mal foutus mais, au contraire, diablement bien pensés).

Celui-ci tournant sans problème l’émulateur Picodrive de Dingux, je ne peux que le conseiller à tous les fans de plate-forme qui pourront ainsi le citer en référence, pouvant faire comprendre aux gens que Mario (que je n’aime personnellement pas)et Sonic sont bien loin d’être les seuls représentants de qualité du genre.
Rom : http://www.megaupload.com/?d=Q7B69MRN
Qualité de l’émulation :
Dingoo A320 : Parfaite avec Picodrive (dingux)
CAANOO : Parfaite avec Picodrive

Support : Neo-Geo
Genre : Beat'em all
Test : Ce jeu est un des meilleurs en matière de shoot, vous avez le choix entre plusieurs personnages, vous traversez différents niveaux, simple champs de bataille aux Pyramides pleines de momies, en passant par des montagnes enneigés, mais, même si vous avez finis le jeu, vous pouvez toujours essayer de battre les autres en faisant de meilleurs scores qu'eux ! (-> https://dingoo.forumgaming.fr/t284-neogeo-metal-slug).
Et je peux dire que leurs High-score sont très élevés.
Des heures de jeux passées dessus... sachant que même si vous mourrez, vous pouvez rajouter des crédits et continuer (même si c'est un peu de la triche).
Très facile d'apprendre à jouer, le reste viens avec l'entraînement...
Il y a une grande diversité d'armes, véhicules, grenades, ennemis...
Bref, un vrai jeu culte (et je pense que je ne suis pas le seul à le dire ).
Roms :
Metal Slug Super Vehicle-001 : http://rapidshare.com/files/273331737/Metal_Slug_Super_Vehicle-001.mvs.html
Metal Slug X Super Vehicle-001 : http://rapidshare.com/files/273329619/Metal_Slug_X_Super_Vehicle-001.mvs.html
Metal Slug 2 Super Vehicle-001II : http://rapidshare.com/files/273333988/Metal_Slug_2_Super_Vehicle-001II.mvs.html
Metal slug 3 : http://rapidshare.com/files/273340371/Metal_slug_3.mvs.html
Metal slug 4 : http://rapidshare.com/files/273443658/Metal_slug_4.mvs.html
Metal slug 5 : http://rapidshare.com/files/273451377/Metal_Slug_5.mvs.html
Qualité de l’émulation :
Dingoo A320 : Parfaite avec l'émulateur natif

Support : Game Boy
Genre : Action
Test :J'ai eu ce jeu sur GBC (oui, la GBC lisait les jeux GB, et oui, elle les colorait) complètement par hasard. J'avais vraiment accroché à ce jeu qui était parfait pour se détendre ou se défouler un bon coup.
De mémoire, je ne l'ai jamais fini à l'époque malgré la difficulté relativement abordable et la faible durée de vie. Je l'ai fini sur dingoo il y a quelques mois.
Vous incarnez un bon vieil américain qui devra se démener pour faire la nique aux méchants terroristes. Scénario simple au possible.
Vous accompagnez le héros pendant 4 missions, la première étant bien moins difficile que la seconde et les suivante (la difficulté est quand même croissante sur tout les niveaux).
Pour le côté plateforme du jeu, il faudra éviter des piège et arriver au bout du niveau avant que votre temps ne soit épuisé (effet très réussi d'une mèche qui brûle), tout au long de votre périple vous pourrez ramassez des items (vies supplémentaires, munitions, bonus, extension de temps), pour le côté action, il faudra tuer les ennemis sur votre passage avec votre pistolet ou mitraillette (l'un comme l'autre ayant une limite de munitions, même si cette nation est vague pour le pistolet).
Les ennemis vous surprennent régulièrement en venant d'un côté comme de l'autre, en courant ou non, en arrivant seul ou mal accompagné, en se protégeant ...
Les contrôles sont enfantins : un bouton pour tirer, l'autre pour sauter; select pour activer le bonus (un sniper qui éliminera d'un coup tous les ennemis à l'écran); la croix pour se diriger. On notera aussi la combinaison de flèche vers le haut ou vers le bas + bouton de saut, combinaison qui permettra de sauter à l'étage supérieur ou de descendre plus bas.
Rom : http://www.emuparadise.me/Nintendo_Game_Boy_ROMs/Navy_Seals_%28USA,_Europe%29/69292-download
Qualité de l’émulation :
Dingoo A320 : Parfaite avec gnuboy4D (dingux)
PC : Parfaite avec BGB

Support : Game Boy Color
Genre : Plate-forme
Test : J'ai joué pour la première fois à ce jeu vers mes 6-7 ans sur la petite gameboy color familiale et ensuite sur la gameboy advance. Lorsque j'étais petit, c'était un des seuls jeux dans lesquels je comprenais ce qu'il fallait faire. Il faut dir que dans ce jeu tout est simple au possible : 26 niveaux simples et 5 niveaux bonnus répartis sur 8 mondes. Tout les niveaux du jeu sont terminables en une ou deux heures, il en faut encore 2-3 de plus pour libérer les bêtes que vous avez totalement oublié pendant le reste de la partie Razz . Rayman a donc une durée de vie assez limité en théorie mais les niveaux sont tellement fun et ludique (je sais que ça veut dire la meme chose mais il est les deux ) que vous prennez plaisir à les refaire. Pour ma part, même après avoir terminné le jeu, j'y joue encore très souvent (à chaque fois que je vais aux toilettes par exemple Twisted Evil )

Coté graphismes, c'est moyennement beau, le level design est assez varié et on comprend ce qu'est chaque objet, Rayman est assez bien fait, les enemies par contre sont étranges et ont l'air de venir d'un autre univers. Les musiques et les bruitages correspondent bien au jeu et sont très bons pour de la Gameboy. La maniabilité est un pur bonheur : Les quatres flèches (haut, bas, gauche, droite), le bouton de saut et le bouton de coup (en fait Rayman ballance sa main sur la gueule de ses adversaires ). En appuyant une deuxième fois sur le bouton de saut on peut faire un héllico (ceux qui ont déja joué à un Rayman savent de quoi je parle Wink ). Il également possible, à partir du quatrième monde, de s'accrocher à des sortes de lanternes grace au coup de poing. On oublie raidement le scénario (quand j'étais petit, fallait pas me demander pour l'anglais) qui est des plus classiques : un méchant a enfermé les lucioles, il faut le retrouver à tout prix et libérer ses pauvres victimes . Le scénario s'oublie très rapidement au profit de l'excellent gameplay.
Rom : http://www.emulateurs-roms.com/emulation-telecharger-roms-du-jeu-rayman-advance-pour-game-boy-advance-10892.phpdownload
Qualité de l’émulation :
DingooA320 : Bonne avec Gnuboy (dingux)
PC : Marche avec Visual Boy Advance (este68)
PC : Marche avec BGB (Link)

Support : Megadrive
Genre : Plate-forme
Test : « T’as déjà joué à Aladdin ? » « Lequel ? »
Comme la plupart des jeux tirés de films d’animations, Aladdin est sorti sur plusieurs supports. Sauf que, et il est important de le souligner, les versions SNES et megadrive sont RADICALEMENT différentes.
Pour faire simple, hormis le fait qu’elles s’inspirent de la même œuvre cinématographique, les deux n’ont quasiment rien en commun. L’exemple le plus flagrant réside dans la façon de tuer les ennemis : sur SNES, on leur saute dessus, tandis que sur megadrive on les attaque au sabre.
Ayant joué à l’un comme à l’autre, et même si j’admets qu’ils bénéficient chacun de qualités indéniables, ma préférence va à l’opus sorti sur la console de SEGA : graphismes très proches du dessin animé, gameplay dynamique, bande son jouissive, et durée de vie honorable en font une réalisation de qualité qui nous rappelle qu’à l’époque les adaptations c’était pas forcément de la merde. Mêlant action et plate-forme, Aladdin nous offre des heures de fun avec des niveaux variés que l’on parcoure au rythme de musiques enchanteresses (« The Escape » est une pure merveille, tout simplement) et de bruitages tout aussi réussis que cocasses.

N’ayant pas remarqué le moindre ralentissement, et n’ayant pas non plus eu à souffrir du moindre problèmes au niveau de la gestion des sauts, je ne peux que le conseiller aux amoureux du genre et (bien évidemment) du film.
Rom : http://www.megaupload.com/?d=B63X6N97
Qualité de l’émulation :
Dingoo A320 : Parfaite avec Picodrive (dingux)
CAANOO : Parfaite avec Picodrive

Support : NES
Genre : Plateforme, exploration
Test : Suite de Duck Tales, sorti sur Même support, adapté de la série télévisée relatant les chasses au trésor de Picsou, le canard le plus riche du monde et de sa famille et de ses amis qui viennent l'aider dans sa quête.
Tout petit, j'étais déjà fan de ce bon vieux canard radin si merveilleusement riche, ça a été un plaisir pour moi de le retrouver sur NES. Si je l'avais déjà fini à l'époque, je ne l'avais fait "à 100%" comme on dit.
Le jeu vient tout droit de Capcom, aussi responsable des adaptations des autres séries télé du même tonneau que Duck Tales (Darkwing Duck, Chip'n'Dales 1 & 2 ou même Duck Tales premier du nom), autant de bon jeux à découvrir ou redécouvrir. Il est intéressant de noter que Capcom aurait réutilisé le moteur de Megaman pour ces jeux, autant dire qu'il s'agit avant tout de jeux de plateforme.
Vous dirigez Picsou qui a l'eau à la bouche depuis que ses malicieux neveux ont mis la main sur un morceau de carte que indiquerait l'emplacement d'un trésor ancien. Le canard va parcourir le monde (5 lieux qui ont pour habitude de se trouver au centre de chasses au trésor : un château hanté en écosses ou les pyramides d'Égypte) afin de mettre la main sur les richesses de ce bas monde ainsi que sur les morceaux manquants de carte.
La maniabilité est intéressante et se concentre sur la canne du vieil oncle : celle-ci servira autant à faire des swing dans les éléments du décors, faire des rebonds pour atteindre les hauteurs ou terrasser ses ennemis ou encore tirer des objets.
Les niveaux se déroulent comme suit : après avoir explorer le lieu vous allez finir par tomber sur le boss, gardien d'un trésor qui vous fera gagner de l'argent qui vient s'ajouter à celui ramassé en cours de route. A la fin du niveau, vous avez un passage à la boutique où vous pourrez acheter des items.
Le point principal du soft, en plus du côté action et l'exploration : outre ses cinq niveaux (et donc ses cinq trésors et ses cinq boss) et son boss de fin, le titre propose de trouver 2 trésors additionnels ainsi que les 6 morceaux de carte manquants qui donneront accès à un niveau secret ainsi que son boss et le trésor convoité par le canard le plus grincheux du monde.
Bonus : Le boss de fin est intéressant, un petit clin d'œil à ce qui est surement mon film de science fiction préféré
Voilà, si vous en avez le cran, essayez donc de tout trouver
Rom : http://www.emuparadise.me/Nintendo_Entertainment_System_ROMs/Duck_Tales_2_%28France%29/55358-download (et en français s'il vous plait, chose assez rare pour être soulignée)
Qualité de l’émulation :
Dingoo A320 : Parfaite avec l'émulateur natif

Support : Gameboy Advance
Genre : Aventure, RPG
Test : Golden Sun est un jeu conçu par Cammelot (ce n'est pas révélateur du jeu, je vous rassure ) et édité par Nitendo. Il est sorti le 20 février 2002 en France. Même si j'ai mis un peu de temps à comprendre ce jeu, il n'a pas d'âge (petite subtilitté, le deuxième tome s'appelle "l'Age perdu"), petits et grand y trouveront leur bonheur. J'ai commencé à y jouer vers l'âge de 8 ans mais je n'ai compris ce qu'il fallait faire qu'à 10 ans (c'est aussi l'âge à partir duquelle j'ai compris qu'il fallait lire les dialogues ) et depuis je dois l'avoir recommencé une dizaine de fois. Le jeu commence dans le village de Vlad (personnage principal) pendant une tempête à l'issue de laquelle votre père et d'autres amis sont laissés pour mort. Le jeu commence réellement 3 ans plus tard lorsque vous décidez d'aller étudier l'alchimie (science des éléments, en gros c'est de la magie) au temple de Sol avec Thélos (savant du village). Vous partez avec Garet (votre meilleur ami) et Lina (une autre amie). Malheureusement votre visite du temple tourne au cauchemard et vous devez quitter votre village pour sauver le monde (la routine quoi ).
La quête que vous allez accomplir est pleine de combats périlleux, de boss argneux et de rencontres boulversantes. Le jeu est un des plus riche que je connaisse, tout support confondu, car à coté de la quète principale, vous allez devoir retrouver les djinns, avoir le meilleur équipement possible, accéder à des lieux secrets ... Vous l'aurez compris, ce jeu a une durée de vie impressionnante.
Comme vous pouvez le voir sur les images, c'est magnifique !! . Les graphismes sont tout simplements excellents (pour de la GBA). Les personnages sont très bien réalisés, les énemis aussi, les animations sont sublimes et parfaitement fluides et les décors sont également à tomber par terre. Les musiques sont tellement réussis que je les écoute souvent sur mon Ipod ; elles collent parfaitement avec le jeu et les bruitages (qui peuvent s'avérrer chiant après 4 heures de jeu non-stop quand même) sont très bons aussi. La jouabilité est bonne : les déplacements sur la carte dans tout les sens sont très simples. La dificulté est très bien gérée, tout les passages sont réalisables mais pas trop trop facile quand même. Le scénario est un des plus complets que je n'ai jamais vu : étalé sur deux opus on ne se lasse à aucun moment du jeu ! Comme dit précédemment la durée de vie est aussi phénoménale, il est tout simplement impossible de terminer le jeu à 100% avec le meilleur équipement, tout les djinns et tout ...
Bref, pour conclure, ce jeu est parfait (je suis un peu fanatique, pardonnez l'absence d'objectivité ). L'excellent scénario est accompagné par des graphismes incroyables, une bande son impressionnante, une durée de vie immortel, et une maniabilité jouissive.
Roms : http://theworldofgoldensun.free.fr/emulation.php
Qualité d'émulation :
DingooA320 : Souffre de nombreuses saccades et de ralentissements divers, mais fonctionne.
PC : bonne sur Visual Boy Advance

Support : Game Boy Advance
Genre : T-RPG
Test : Fire Emblem est une série de T-RPG dont la plupart des volets sont sortis uniquement au japon.
Ayant mis la main, par hasard, sur le septième opus Rekka No Ken (sobrement renommé « Fire Emblem » dans nos contrées, et Blazing Sword aux USA) alors que je furetais dans les jeux d’occasion du Micromania le plus proche de chez moi, je fus tenter par son faible prix et me le procurais immédiatement. Un coup de veine, cela va sans dire, car cet évènement me permit de découvrir l’un des meilleurs jeux de stratégie jamais créés. Tout simplement.
Je vais parler ici uniquement des trois opus sortis sur Game Boy Advance : FE6 (Sealed Sword), FE7 (Blazing Sword), et FE8 (Sacred Stones). Signalons en passant que FE6 est la suite de FE7. Du coup, je vous conseille de commencer par ce dernier si vous voulez pouvoir profiter au maximum de l’histoire, FE8 n’étant lié à aucun autre opus (de plus FE7 possède un excellent tutoriel, contrairement à FE6).
Les phases de jeu se déroulent au tour par tour, sur un plateau gigantesque nous faisant penser à une immense partie d’échec. Le joueur doit gérer tout à la fois l’équipement de ses personnages (qui s’use au point de se briser), la maitrise qu’ils ont de leurs armes, les évènements climatiques occasionnels (brouillard, pluie, neige…), le terrain, les salves d’ennemis, les liens d’amitié/d’amour entre les unités (qui ont toutes une personnalité et une histoire personnelle développée) et, bien évidemment, la vie de ses soldats. Sauf que, et c’est la grande particularité de cette licence : un individu mort au combat ne se relèvera pas. Il est définitivement inutilisable (sauf exception) et vous n’avez plus qu’à choisir entre recommencer depuis la dernière sauvegarde ou poursuivre le jeu sans lui. C’est sûrement le point le plus intéressant, nous forçant à être sans cesse vigilant et à avancer avec prudence. Notez que certaines unités refuseront de se battre si leur conjoint a trépassé, devenant dés lors inutilisables. En contre partie elles disposeront d’un bonus de soutien (selon le niveau de la relation que vous aurez créée entre eux) en étant proches sur le champ de bataille pour obtenir des bonus de statistiques.
Chaque « pion » (Dieu, que c’est réducteur comme terme) peut atteindre le niveau 20 d’une première classe puis, après usage d’un objet spécifique, atteindre le niveau 20 d’une seconde. FE8 possède quelques particularités à ce niveau là (comme le choix de la classe lors de la promotion, ou encore l’existence de « recrues », mais vous verrez vous-même), mais quelque soit le jeu je ne peux que vous conseiller d’attendre le niveau 20 avant de promouvoir un personnage (on peut dés le niveau 10, mais du coup ça fait une dizaine de niveaux d’expérience perdus en le faisant à ce moment là).
Les divers scénarios, principaux ou secondaires, sont intéressants à suivre et parfois très originaux, et graphiquement, le style « manga » est très réussi et est complété par plusieurs dizaines d’artworks de toute beauté. Le système de combat est très détaillé (tout en étant intuitif grâce au tutoriel) et nous permet de revoir bon nombre des notions de stratégie qu’on avait avant.

En somme, je ne peux que conseiller ces T-RPG, qui sont des modèles du genre, et qui sont autrement plus agréables qu’un « Final Fantasy Tactics Advance » dans tous les domaines.
Roms :
FE6 : http://www.megaupload.com/?d=IVRBLAW0 (Anglais)
FE7 : http://www.megaupload.com/?d=FOBQUVYJ (Français)
FE8 : http://www.megaupload.com/?d=12B9OU63 (Français)
Qualité de l’émulation :
Dingoo A320 : Parfaite avec l'émulateur natif.

Que la "bad end" du un, quand on décide de ne pas sauver le monde, est contradictoire avec l'histoire du deux qui dit que, justement, ce qu'on a fait dans le un c'était de la merde et qu'il faut rattraper ce bordel au plus vite ?